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Actualite d'Oran
Sam 4 Nov - 19:02 par moe
Des habitants d’Es-Sénia dénoncent les pratiques des transporteurs
De nombreux habitants de la cité Commandant Cherif Yahia (ex-200 logements) d’Es-Sénia ont dû attendre, dans la matinée d’hier, plus d’une heure au niveau des différents arrêts de bus, pour enfin pouvoir rejoindre leurs …
De nombreux habitants de la cité Commandant Cherif Yahia (ex-200 logements) d’Es-Sénia ont dû attendre, dans la matinée d’hier, plus d’une heure au niveau des différents arrêts de bus, pour enfin pouvoir rejoindre leurs …
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L'Actualite de La Societe Oranaise
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L'Actualite de La Societe Oranaise
Adresse : 1er abribus, Yaghmoracen
Un sans domicile fixe (SDF) a élu domicile sous un abribus. Un lit de camp, un matelas et une couverture avec, en prime, le banc en plastique de l’abribus faisant office de table de chevet.
Il y a même un chien blanc qui veille sur ce jeune sans domicile fixe dont le séjour sous ce «logis» de fortune date de bien avant 1998, selon certaines indiscrétions des riverains. Il ne s’agit ni d’hallucinations ni de fiction. Ce triste spectacle se «joue» à longueur de journée, au vu et au su de tout le monde, dans un quartier bien connu d’Oran.
L’abribus en question se trouve dans le quartier de Yaghmoracen, près de la station de taxis desservant les localités de la wilaya de Tlemcen, plus exactement au niveau du terminus de la ligne « 4G », à quelques encablures de l’institut des langues étrangères. Quant au SDF, c’est un jeune homme âgé de la trentaine, devenu au fil du temps un habitant à part entière du quartier, comme en témoignent les commerçants du coin. «Le bonhomme vit ici depuis très longtemps. Quand je me suis installé au quartier en 1998, il vivait déjà ici, sous l’abribus», nous raconte un commerçant d’alimentation générale. Les gamins du quartier le connaissent aussi bien. C’est vrai qu’ils le «chambrent» un peu, de temps à autre, mais ce n’est jamais méchant. Quant aux adultes, ils se sont accommodés de sa présence dans le quartier. Souffre-t-il de troubles mentaux ? Non, nous assure-t-on. C’est vrai que ça lui arrive de déprimer, d’avoir des coups de «blues», comme on dit. Il prend dès lors ses distances avec les gens et évite de trop leur parler comme à son accoutumée. Mais c’est, à la limite, normal. Surtout quand on sait combien il est difficile de vivre dans la rue, nous confie un jeune du quartier. Mais la plupart du temps, précise-t-il, c’est quelqu’un qui est très sociable. «Quand il discute avec nous, on est très souvent impressionnés par le bon sens de son discours et l’originalité de ses idées. C’est aussi grâce à sa sympathie qu’il est arrivé à s’intégrer dans le quartier. Durant le mois de Ramadhan, par exemple, chaque jour avant le f’tour, il avait son plat quotidien. Les habitants des cités avoisinantes n’ont pas laissé passer l’occasion de ce mois de piété et de ferveur pour faire preuve de générosité», raconte ce jeune. Mais cet esprit de charité est présent même en dehors du mois de Ramadhan, comme l’affirme un marchand de fruits et légumes. «Une solidarité qui s’est installée spontanément parmi tous les commerçants car le cas mérite vraiment assistance», a-t-il encore ajouté.
H. Barti
Le Quotidien d'Oran
Un sans domicile fixe (SDF) a élu domicile sous un abribus. Un lit de camp, un matelas et une couverture avec, en prime, le banc en plastique de l’abribus faisant office de table de chevet.
Il y a même un chien blanc qui veille sur ce jeune sans domicile fixe dont le séjour sous ce «logis» de fortune date de bien avant 1998, selon certaines indiscrétions des riverains. Il ne s’agit ni d’hallucinations ni de fiction. Ce triste spectacle se «joue» à longueur de journée, au vu et au su de tout le monde, dans un quartier bien connu d’Oran.
L’abribus en question se trouve dans le quartier de Yaghmoracen, près de la station de taxis desservant les localités de la wilaya de Tlemcen, plus exactement au niveau du terminus de la ligne « 4G », à quelques encablures de l’institut des langues étrangères. Quant au SDF, c’est un jeune homme âgé de la trentaine, devenu au fil du temps un habitant à part entière du quartier, comme en témoignent les commerçants du coin. «Le bonhomme vit ici depuis très longtemps. Quand je me suis installé au quartier en 1998, il vivait déjà ici, sous l’abribus», nous raconte un commerçant d’alimentation générale. Les gamins du quartier le connaissent aussi bien. C’est vrai qu’ils le «chambrent» un peu, de temps à autre, mais ce n’est jamais méchant. Quant aux adultes, ils se sont accommodés de sa présence dans le quartier. Souffre-t-il de troubles mentaux ? Non, nous assure-t-on. C’est vrai que ça lui arrive de déprimer, d’avoir des coups de «blues», comme on dit. Il prend dès lors ses distances avec les gens et évite de trop leur parler comme à son accoutumée. Mais c’est, à la limite, normal. Surtout quand on sait combien il est difficile de vivre dans la rue, nous confie un jeune du quartier. Mais la plupart du temps, précise-t-il, c’est quelqu’un qui est très sociable. «Quand il discute avec nous, on est très souvent impressionnés par le bon sens de son discours et l’originalité de ses idées. C’est aussi grâce à sa sympathie qu’il est arrivé à s’intégrer dans le quartier. Durant le mois de Ramadhan, par exemple, chaque jour avant le f’tour, il avait son plat quotidien. Les habitants des cités avoisinantes n’ont pas laissé passer l’occasion de ce mois de piété et de ferveur pour faire preuve de générosité», raconte ce jeune. Mais cet esprit de charité est présent même en dehors du mois de Ramadhan, comme l’affirme un marchand de fruits et légumes. «Une solidarité qui s’est installée spontanément parmi tous les commerçants car le cas mérite vraiment assistance», a-t-il encore ajouté.
H. Barti
Le Quotidien d'Oran
Dernière édition par le Dim 5 Nov - 15:25, édité 1 fois
moe- Supervisor
- Nombre de messages : 1462
Date d'inscription : 18/10/2006
Re: L'Actualite de La Societe Oranaise
Les habitants d’Aïn El-Turck s’organisent
L’association «La Mer et les Pins» pour la sauvegarde et le renouveau d’Aïn El-Turck vient de naître. La nouvelle arrivée qui regroupe des notables et des habitants d’Aïn El-Turck s’est fixé comme principal objectif de «réhabiliter l’image d’antan de la ville hospitalière». Pour son président, la première préoccupation de l’association reste la préservation de l’environnement pour améliorer le cadre de vie des habitants qui s’est fortement dégradé ces dernières années.
La belle cité balnéaire des années quatre-vingt avec ses plages propres, ses commerces et ses loisirs n’est plus, en effet, ce qu’elle était. Désormais, selon le président de l’association, le nom d’Aïn El-Turck est devenu synonyme de malvie: «chaussée défoncée, saleté repoussante des rues, éclairage défaillant, coupures plus que fréquentes de l’électricité, perturbations dans l’alimentation en eau...» La liste est longue. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, «la ville est devenue le fief des délinquants, des drogués et de troupes de clochards», souligne le président de l’association. Il y aussi, ajoute-t-il, les groupes de «Harraga» qui ont jeté leur dévolu sur la corniche oranaise pour prendre le large vers des horizons plus qu’incertains.
Le constat est amer, mais dans ce chaos a jailli la lumière grâce à un groupe d’enfants d’Aïn El-Turck qui ont dit non à la clochardisation de leur ville. «(...) Devant faire face à une dégradation inhumaine de leurs conditions de vie et de sécurité plus que déplorables, les citoyens d’Aïn El-Turck ont décidé de réagir face à ce laxisme manifeste, ce manque de volonté et d’engagement des pouvoirs publics dépassés par les événements», écrit le président de cette association.
M. S.
Le Quotidien d'Oran
L’association «La Mer et les Pins» pour la sauvegarde et le renouveau d’Aïn El-Turck vient de naître. La nouvelle arrivée qui regroupe des notables et des habitants d’Aïn El-Turck s’est fixé comme principal objectif de «réhabiliter l’image d’antan de la ville hospitalière». Pour son président, la première préoccupation de l’association reste la préservation de l’environnement pour améliorer le cadre de vie des habitants qui s’est fortement dégradé ces dernières années.
La belle cité balnéaire des années quatre-vingt avec ses plages propres, ses commerces et ses loisirs n’est plus, en effet, ce qu’elle était. Désormais, selon le président de l’association, le nom d’Aïn El-Turck est devenu synonyme de malvie: «chaussée défoncée, saleté repoussante des rues, éclairage défaillant, coupures plus que fréquentes de l’électricité, perturbations dans l’alimentation en eau...» La liste est longue. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, «la ville est devenue le fief des délinquants, des drogués et de troupes de clochards», souligne le président de l’association. Il y aussi, ajoute-t-il, les groupes de «Harraga» qui ont jeté leur dévolu sur la corniche oranaise pour prendre le large vers des horizons plus qu’incertains.
Le constat est amer, mais dans ce chaos a jailli la lumière grâce à un groupe d’enfants d’Aïn El-Turck qui ont dit non à la clochardisation de leur ville. «(...) Devant faire face à une dégradation inhumaine de leurs conditions de vie et de sécurité plus que déplorables, les citoyens d’Aïn El-Turck ont décidé de réagir face à ce laxisme manifeste, ce manque de volonté et d’engagement des pouvoirs publics dépassés par les événements», écrit le président de cette association.
M. S.
Le Quotidien d'Oran
moe- Supervisor
- Nombre de messages : 1462
Date d'inscription : 18/10/2006
HARAG 4 mort LE 13/04/2007
« Les Harga » que l’on peut traduire par « les clandestins » généralement sont des jeunes sans emploi, sans argent (Fauché quoi) qui « BRULENT » les frontières pour aller tenter l’aventure en Europe en commencent par l’Espagne ou l’Italie.
Leurs chances sont MINIMES car très souvent ils périssent en mer.
Ils tentent l’aventure souvent dans des barques avec moteur en très grand nombre sans réelles connaissances maritimes, Leurs rêves souvent se transforment en cauchemars à cause du mauvais temps
Alors les plus chanceux sont repérés par des gardes cotes Algérien ou bien en pleine mer par les Espagnols qui les SOIGNENT avant de les expulser vers l’Algérie.
Il y a de plus en plus de « Haraga » car il n’ont pas d’emploi en Algérie et rêvent de l’Eldorado qui se trouve de l’autre coté de la méditerranée
MaxiAngel.
Discuter le Sujet
Leurs chances sont MINIMES car très souvent ils périssent en mer.
Ils tentent l’aventure souvent dans des barques avec moteur en très grand nombre sans réelles connaissances maritimes, Leurs rêves souvent se transforment en cauchemars à cause du mauvais temps
Alors les plus chanceux sont repérés par des gardes cotes Algérien ou bien en pleine mer par les Espagnols qui les SOIGNENT avant de les expulser vers l’Algérie.
Il y a de plus en plus de « Haraga » car il n’ont pas d’emploi en Algérie et rêvent de l’Eldorado qui se trouve de l’autre coté de la méditerranée
MaxiAngel.
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Maxiangel- Régulier(e)
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Localisation : Ain El Turck Oran
Date d'inscription : 12/04/2007
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