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Sam 4 Nov - 19:02 par moe
Des habitants d’Es-Sénia dénoncent les pratiques des transporteurs
De nombreux habitants de la cité Commandant Cherif Yahia (ex-200 logements) d’Es-Sénia ont dû attendre, dans la matinée d’hier, plus d’une heure au niveau des différents arrêts de bus, pour enfin pouvoir rejoindre leurs …
De nombreux habitants de la cité Commandant Cherif Yahia (ex-200 logements) d’Es-Sénia ont dû attendre, dans la matinée d’hier, plus d’une heure au niveau des différents arrêts de bus, pour enfin pouvoir rejoindre leurs …
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L'Actualite en Algerie
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L'Actualite en Algerie
Huit militaires assassinés à Aïn Defla
Huit militaires dont un officier ont été assassinés, jeudi dernier, à 14 km à l’ouest de Belaâs, dans la daïra de Bathia, au sud-ouest du chef-lieu de la wilaya d’Aïn Defla, apprend-on de sources concordantes. Selon ces dernières, les éléments de l’ANP sont tombés dans une embuscade tendue par un groupe terroriste au lieu-dit «Draâ Ettaga», une région boisée. On indique, par ailleurs, que les corps des huit militaires ont été acheminés vers Blida en début de soirée du jeudi. A la suite de cette nouvelle attaque terroriste d’importantes forces de l’ANP ont été mobilisées dans une opération de ratissage pour retrouver le groupe qui a commis cet attentat.
Rappelons que c’est le second attentat perpétré dans la région, après celui de Ben-Allal, dans la daïra de Miliana, et qui avait fait 8 morts parmi les gardes communaux. Ces derniers avaient été surpris par un groupe terroriste, composé d’une vingtaine d’éléments au moment où ils accomplissaient la prière du maghreb. Au total onze gardes communaux se trouvaient sur les lieux, au niveau d’un poste d’observation. Les assaillants sont venus par derrière et ont ouvert le feu sur eux, criblant de balles huit d’entre eux dans le dos. Les trois autres ont pu en réchapper et ont riposté, ce qui a fait fuir les terroristes.
Cet attentat avait endeuillé toute la population de la région.
Rappelons aussi que des attaques terroristes avaient été menées il y a plus d’une semaine dans la région d’Alger, où des camions piégés avaient explosé devant le commissariat de Réghaïa et le siège de la BMPJ de Dergana. Ces attentats aux camions piégés avaient fait 3 morts et 24 blessés.
M. N.
Le Quotidient d'Oran
Huit militaires dont un officier ont été assassinés, jeudi dernier, à 14 km à l’ouest de Belaâs, dans la daïra de Bathia, au sud-ouest du chef-lieu de la wilaya d’Aïn Defla, apprend-on de sources concordantes. Selon ces dernières, les éléments de l’ANP sont tombés dans une embuscade tendue par un groupe terroriste au lieu-dit «Draâ Ettaga», une région boisée. On indique, par ailleurs, que les corps des huit militaires ont été acheminés vers Blida en début de soirée du jeudi. A la suite de cette nouvelle attaque terroriste d’importantes forces de l’ANP ont été mobilisées dans une opération de ratissage pour retrouver le groupe qui a commis cet attentat.
Rappelons que c’est le second attentat perpétré dans la région, après celui de Ben-Allal, dans la daïra de Miliana, et qui avait fait 8 morts parmi les gardes communaux. Ces derniers avaient été surpris par un groupe terroriste, composé d’une vingtaine d’éléments au moment où ils accomplissaient la prière du maghreb. Au total onze gardes communaux se trouvaient sur les lieux, au niveau d’un poste d’observation. Les assaillants sont venus par derrière et ont ouvert le feu sur eux, criblant de balles huit d’entre eux dans le dos. Les trois autres ont pu en réchapper et ont riposté, ce qui a fait fuir les terroristes.
Cet attentat avait endeuillé toute la population de la région.
Rappelons aussi que des attaques terroristes avaient été menées il y a plus d’une semaine dans la région d’Alger, où des camions piégés avaient explosé devant le commissariat de Réghaïa et le siège de la BMPJ de Dergana. Ces attentats aux camions piégés avaient fait 3 morts et 24 blessés.
M. N.
Le Quotidient d'Oran
Dernière édition par le Sam 4 Nov - 19:54, édité 1 fois
moe- Supervisor
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Date d'inscription : 18/10/2006
Re: L'Actualite en Algerie
L’affaire des 1.200 milliards détournés de la BADR devant les juges
Le procès des vingt-cinq mis en cause dans le détournement de plus de 12 milliards de dinars de l’agence de la Banque de l’agriculture et de développement rural (BADR), de Birkhadem, s’est ouvert, jeudi, au tribunal correctionnel de Bir Mourad Raïs.
Selon l’arrêt de renvoi, 25 personnes sont accusées d’avoir détourné entre 2002 et 2005, grâce à des opérations financières illégales, au profit d’un groupe domicilié à Blida, et spécialisé dans l’importation des céréales et des matériaux de construction, 12,560 milliards de dinars.
Le principal mis en cause, dans cette affaire, est le patron du groupe. Il est accusé d’avoir, avec la complicité de cadres supérieurs de la BADR, dont le P-DG de la banque, bénéficié d’un crédit de sept milliards de dinars sans aucune garantie de remboursement.
D’ailleurs, parmi les vingt-cinq personnes impliquées dans cette affaire, la majorité ne sont, en fait, que des cadres de la banque. Neuf des mis en cause sont en détention préventive, quatorze sous contrôle judiciaire et les autres (02) en fuite.
Les mis en cause sont poursuivis pour le chef d’inculpation de dissipation de deniers publics. Le patron du groupe blidéen, quant à lui, est poursuivi pour dissipation de deniers publics, escroquerie, faux et usage de faux. Le détournement des 12 milliards de dinars avait été découvert en 2005 après une enquête interne menée par une commission dépêchée par l’administration de la banque dans le but de vérifier des informations sur l’existence d’opérations frauduleuses dans cette agence.
La banque avait déposé une plainte et cinq des mis en cause avaient été placés en détention préventive dès novembre 2005.
L’arrêt de renvoi avait été prononcé le 29 juillet dernier et l’affaire devait être jugée le 27 août dernier par le tribunal correctionnel de Bir Mourad Raïs.
Toutefois, elle a été reportée trois fois de suite, pour plusieurs raisons, notamment à la demande de la défense en vue d’établir un agenda pour rembourser la somme détournée.
Jeudi, la défense a tenté, encore une fois, d’obtenir le report pour la même raison, mais la demande a été rejetée par le tribunal et le parquet.
S. M.
Le Quotidien d'Oran
Le procès des vingt-cinq mis en cause dans le détournement de plus de 12 milliards de dinars de l’agence de la Banque de l’agriculture et de développement rural (BADR), de Birkhadem, s’est ouvert, jeudi, au tribunal correctionnel de Bir Mourad Raïs.
Selon l’arrêt de renvoi, 25 personnes sont accusées d’avoir détourné entre 2002 et 2005, grâce à des opérations financières illégales, au profit d’un groupe domicilié à Blida, et spécialisé dans l’importation des céréales et des matériaux de construction, 12,560 milliards de dinars.
Le principal mis en cause, dans cette affaire, est le patron du groupe. Il est accusé d’avoir, avec la complicité de cadres supérieurs de la BADR, dont le P-DG de la banque, bénéficié d’un crédit de sept milliards de dinars sans aucune garantie de remboursement.
D’ailleurs, parmi les vingt-cinq personnes impliquées dans cette affaire, la majorité ne sont, en fait, que des cadres de la banque. Neuf des mis en cause sont en détention préventive, quatorze sous contrôle judiciaire et les autres (02) en fuite.
Les mis en cause sont poursuivis pour le chef d’inculpation de dissipation de deniers publics. Le patron du groupe blidéen, quant à lui, est poursuivi pour dissipation de deniers publics, escroquerie, faux et usage de faux. Le détournement des 12 milliards de dinars avait été découvert en 2005 après une enquête interne menée par une commission dépêchée par l’administration de la banque dans le but de vérifier des informations sur l’existence d’opérations frauduleuses dans cette agence.
La banque avait déposé une plainte et cinq des mis en cause avaient été placés en détention préventive dès novembre 2005.
L’arrêt de renvoi avait été prononcé le 29 juillet dernier et l’affaire devait être jugée le 27 août dernier par le tribunal correctionnel de Bir Mourad Raïs.
Toutefois, elle a été reportée trois fois de suite, pour plusieurs raisons, notamment à la demande de la défense en vue d’établir un agenda pour rembourser la somme détournée.
Jeudi, la défense a tenté, encore une fois, d’obtenir le report pour la même raison, mais la demande a été rejetée par le tribunal et le parquet.
S. M.
Le Quotidien d'Oran
moe- Supervisor
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Re: L'Actualite en Algerie
je ne sais pas si c'ets le bon endroit
mais j'annonce (d'après le sms que je viens de recevoir) que la période de validité chez Mobils est devenu illimité!
le premier opérateur à l'appliquer c'est Wataniya, et depuis 3 jours c'est Djezzy!
enfin ils commencent à devenir comme les opérateurs du monde!
mais j'annonce (d'après le sms que je viens de recevoir) que la période de validité chez Mobils est devenu illimité!
le premier opérateur à l'appliquer c'est Wataniya, et depuis 3 jours c'est Djezzy!
enfin ils commencent à devenir comme les opérateurs du monde!
Baisse des tarifs de Djezzy
Je n' ai pas su ou poster cette info,libre à vous de deplacer le sujet
Djezzy baisse ses tarifs
Du nouveau à Djezzy. L’appel de 30 secondes sera désormais à 3,99 dinars. C’est ce que vient d’annoncer l’opérateur de téléphonie mobile Orascom Télécom Algérie (OTA), dans un communiqué rendu public hier. Grâce à cette offre exclusive, tous les appels de Djezzy Carte vers Djezzy seront à 3,99 dinars. Ils seront à partir de 4,49 dinars vers les autres réseaux fixes et mobiles en Algérie.
En effet, indique le même communiqué d’Orascom Télécom Algérie, «après la validité illimitée de Djezzy Carte et Allo, lancée depuis un mois, cette baisse appliquée dans les tarifs de communication va permettre aux abonnés de Djezzy de parler en totale liberté. Au-delà des tarifs imbattables et de la validité illimitée, aucune condition de niveau de crédit sur la puce ainsi que sur la recharge».
Une nouvelle offre qui s’ajoute à la plus grande couverture réseau qui touche actuellement plus de 93% de la population, avec 58 centres de services répartis à travers le pays.
K.Assia
le quotidien d' Oran
Djezzy baisse ses tarifs
Du nouveau à Djezzy. L’appel de 30 secondes sera désormais à 3,99 dinars. C’est ce que vient d’annoncer l’opérateur de téléphonie mobile Orascom Télécom Algérie (OTA), dans un communiqué rendu public hier. Grâce à cette offre exclusive, tous les appels de Djezzy Carte vers Djezzy seront à 3,99 dinars. Ils seront à partir de 4,49 dinars vers les autres réseaux fixes et mobiles en Algérie.
En effet, indique le même communiqué d’Orascom Télécom Algérie, «après la validité illimitée de Djezzy Carte et Allo, lancée depuis un mois, cette baisse appliquée dans les tarifs de communication va permettre aux abonnés de Djezzy de parler en totale liberté. Au-delà des tarifs imbattables et de la validité illimitée, aucune condition de niveau de crédit sur la puce ainsi que sur la recharge».
Une nouvelle offre qui s’ajoute à la plus grande couverture réseau qui touche actuellement plus de 93% de la population, avec 58 centres de services répartis à travers le pays.
K.Assia
le quotidien d' Oran
mohamed- Discret(e)
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Age : 37
Date d'inscription : 29/10/2006
Re: L'Actualite en Algerie
Le GSPC appelle à des attaques en France contre les officiels algériens
A peine la réconciliation nationale clarifiée et la date du référendum
fixée au 29 septembre prochain, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) fait parler de lui.
Dans un communiqué - qui ne porte ni cachet ni signature - diffusé sur Internet, lundi et daté probablement du 31 juillet, le groupe terroriste a appelé «les fils de l’Islam en France» à s’attaquer aux officiels algériens en déplacement dans l’Hexagone.
Après avoir salué l’assassinat des deux diplomates algériens Ali
Belaroussi et Azzedine Belkadi par leurs ravisseurs en Irak, le GSPC
vient de donner un véritable permis de tuer à ses relais ou
sympathisants en France contre tous les officiels algériens qui s’y
rendraient. «Frères de religion et de croyance, soutenez vos frères en Algérie en pourchassant ces criminels en France», harangue le communiqué.
L’organisation terroriste n’y va pas par quatre chemins pour inviter ses «frères de religion» résidant en France à traquer les représentants de l’Algérie, considérés par les terroristes comme étant des «criminels» et des «apostats». Sauf que cette fois-ci, les ennemis du GSPC se retrouvent dans toute la société algérienne.
Pour le GSPC, leurs «véritables ennemis» ne sont pas seulement les
dirigeants militaires, mais aussi de «nombreux civils réputés pour leur
entière allégeance aux dirigeants français, ce sont ceux qui ont une
énorme influence au sommet de la pyramide du pouvoir». Le groupe
terroriste se fait même très clair sur les cibles qu’il désigne aux
éventuelles cellules dormantes. «Ils ont accaparé l’administration
algérienne, les organes d’information, les grandes entreprises, les
institutions culturelles, les diverses missions diplomatiques ainsi que
d’autres centres influents...». Le choix des musulmans de France réside, selon le communiqué, dans le fait que la France représente un «refuge sûr». «Est-ce que vous allez les laisser se reposer en France où ils passent leurs vacances, récupérer leurs forces pour revenir ensuite avec un nouveau souffle, comploter contre l’Islam et combattre les fidèles ?», s’interroge le GSPC.
L’organisation terroriste affiliée à Al-Qaïda rappelle que ses membres
ont «besoin du soutien et de l’appui» de ses frères.
Pour trouver les officiels algériens, le chemin est simple, selon le
communiqué. «Guettez-les partout. Cherchez-les dans les antres de la débauche, dans les repaires de la corruption et du jeu, dans les boîtes de nuit, les cabarets, les magasins de vente d’alcool parce qu’ils ne vivent que dans les endroits du vice», indique le GSPC. Pour ceux qui n’arrivent pas à franchir ce pas, le groupe invite même ses «frères d’Islam» à opérer une véritable campagne de propagande auprès de la communauté musulmane afin de les «débusquer, les avilir et gâcher leur repos». Le groupe terroriste poursuit sa logique assassine en exhortant pour la première fois à des attaques anti-algériennes en France.
C’est une continuité logique en somme aux actions terroristes menées en Algérie. D’autant que leurs capacités de nuisance sur le territoire national ont sensiblement diminué ces dernières années du fait de la lutte antiterroriste menée par l’ANP et les forces de sécurité.
L’Algérie est perçue par les organisations terroristes, Al-Qaïda en
tête, comme étant un ennemi à abattre, un Etat qui a déclaré une guerre totale au terrorisme. La preuve a été donnée par l’assassinat des deux diplomates algériens en Irak. Si la date de publication du communiqué est réellement fixée au 31 juillet, il s’agirait, selon les experts, d’une poursuite du soutien aux organisations affiliées à Al-Qaïda en leur désignant de nouvelles cibles et non de la position réelle du GSPC sur la réconciliation nationale. L’écart entre la publication le 31 juillet et la diffusion le 16 août, cela indiquerait de plus que leurs relais de propagande ne sont plus aussi efficaces qu’avant.
La conjoncture reste toutefois particulière, marquée par le projet de
charte pour la paix et la réconciliation nationale.
Samar Smati
Le Quotidien d'Oran
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A peine la réconciliation nationale clarifiée et la date du référendum
fixée au 29 septembre prochain, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) fait parler de lui.
Dans un communiqué - qui ne porte ni cachet ni signature - diffusé sur Internet, lundi et daté probablement du 31 juillet, le groupe terroriste a appelé «les fils de l’Islam en France» à s’attaquer aux officiels algériens en déplacement dans l’Hexagone.
Après avoir salué l’assassinat des deux diplomates algériens Ali
Belaroussi et Azzedine Belkadi par leurs ravisseurs en Irak, le GSPC
vient de donner un véritable permis de tuer à ses relais ou
sympathisants en France contre tous les officiels algériens qui s’y
rendraient. «Frères de religion et de croyance, soutenez vos frères en Algérie en pourchassant ces criminels en France», harangue le communiqué.
L’organisation terroriste n’y va pas par quatre chemins pour inviter ses «frères de religion» résidant en France à traquer les représentants de l’Algérie, considérés par les terroristes comme étant des «criminels» et des «apostats». Sauf que cette fois-ci, les ennemis du GSPC se retrouvent dans toute la société algérienne.
Pour le GSPC, leurs «véritables ennemis» ne sont pas seulement les
dirigeants militaires, mais aussi de «nombreux civils réputés pour leur
entière allégeance aux dirigeants français, ce sont ceux qui ont une
énorme influence au sommet de la pyramide du pouvoir». Le groupe
terroriste se fait même très clair sur les cibles qu’il désigne aux
éventuelles cellules dormantes. «Ils ont accaparé l’administration
algérienne, les organes d’information, les grandes entreprises, les
institutions culturelles, les diverses missions diplomatiques ainsi que
d’autres centres influents...». Le choix des musulmans de France réside, selon le communiqué, dans le fait que la France représente un «refuge sûr». «Est-ce que vous allez les laisser se reposer en France où ils passent leurs vacances, récupérer leurs forces pour revenir ensuite avec un nouveau souffle, comploter contre l’Islam et combattre les fidèles ?», s’interroge le GSPC.
L’organisation terroriste affiliée à Al-Qaïda rappelle que ses membres
ont «besoin du soutien et de l’appui» de ses frères.
Pour trouver les officiels algériens, le chemin est simple, selon le
communiqué. «Guettez-les partout. Cherchez-les dans les antres de la débauche, dans les repaires de la corruption et du jeu, dans les boîtes de nuit, les cabarets, les magasins de vente d’alcool parce qu’ils ne vivent que dans les endroits du vice», indique le GSPC. Pour ceux qui n’arrivent pas à franchir ce pas, le groupe invite même ses «frères d’Islam» à opérer une véritable campagne de propagande auprès de la communauté musulmane afin de les «débusquer, les avilir et gâcher leur repos». Le groupe terroriste poursuit sa logique assassine en exhortant pour la première fois à des attaques anti-algériennes en France.
C’est une continuité logique en somme aux actions terroristes menées en Algérie. D’autant que leurs capacités de nuisance sur le territoire national ont sensiblement diminué ces dernières années du fait de la lutte antiterroriste menée par l’ANP et les forces de sécurité.
L’Algérie est perçue par les organisations terroristes, Al-Qaïda en
tête, comme étant un ennemi à abattre, un Etat qui a déclaré une guerre totale au terrorisme. La preuve a été donnée par l’assassinat des deux diplomates algériens en Irak. Si la date de publication du communiqué est réellement fixée au 31 juillet, il s’agirait, selon les experts, d’une poursuite du soutien aux organisations affiliées à Al-Qaïda en leur désignant de nouvelles cibles et non de la position réelle du GSPC sur la réconciliation nationale. L’écart entre la publication le 31 juillet et la diffusion le 16 août, cela indiquerait de plus que leurs relais de propagande ne sont plus aussi efficaces qu’avant.
La conjoncture reste toutefois particulière, marquée par le projet de
charte pour la paix et la réconciliation nationale.
Samar Smati
Le Quotidien d'Oran
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mohamed- Discret(e)
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Re: L'Actualite en Algerie
Tizi Ouzou : Le Mossad s’invite au tribunal
C’est une affaire d’espionnage qui a été ouverte hier au tribunal criminel de Tizi Ouzou, impliquant deux accusés sous les chefs d’inculpation de « récolte d’informations et de documents destinés à une puissance étrangère, portant atteinte à la défense et à l’économie nationales ».
Quelques indications ont filtré de ce procès qui se tient à huis clos, et sur lequel plane l’ombre des redoutables services secrets israéliens. Au box des accusés, S. Saïd, 44 ans, qui a exercé en tant que journaliste dans plusieurs pays africains, et T. Ali, 31 ans, policier à Tizi Ouzou puis à Alger, présenté dans le dossier comme l’un des informateurs du premier accusé. L’affaire a commencé en 1992 lorsque S. Saïd, exerçant alors dans un journal en Côte d’Ivoire, publie un portrait élogieux de Shimon Peres. L’article a attiré l’attention de l’ambassade d’Israël à Abidjan, et l’auteur sera invité à la même période à un stage de formation en Israël en compagnie d’autres journalistes de pays africains et arabes. Les détails de « l’enrôlement » présumé des hôtes d’Israël restent sombres. Les avocats ont été instruits de ne pas divulguer le contenu de l’arrêt de renvoi, mais des indiscrétions font état de documents relatifs aux déplacements du principal accusé dans les pays du Maghreb et du Proche-Orient. Selon le document de la chambre d’accusation, s’appuyant sur des pièces saisies lors de l’enquête, la formation qui a été prodiguée par l’Etat hébreu était à la lisière du journalisme, embrassant les techniques de récolte d’informations sensibles, liées à la sécurité et à l’économie. Les avocats de la défense affirment que le dossier a été amplifié et que les documents en possession de la justice ne dépassent pas le cadre de l’activité journalistique de leur mandant. Ce dernier aurait accompli des « missions » dans de nombreux pays arabes et était rémunéré, selon les pièces de l’accusation, à hauteur de 1500 dollars. Son arrestation aurait eu lieu en 2005 au Maroc, par les services de sécurité de ce pays, avant d’être extradé vers l’ Algérie. L’affaire a d’abord été examinée par le tribunal militaire qui s’est déclaré incompétent, la renvoyant à la cour de Tizi Ouzou. Le deuxième accusé, T. Ali, était un élément de la BMPJ à Tizi Ouzou, et aurait donné des informations à son coaccusé sur la situation sécuritaire dans la région. Le procès se poursuivra aujourd’hui. A noter que des moyens audiovisuels ont été utilisés dans le hall du bâtiment judiciaire par des éléments de la « sécurité intérieure de la cour ». A signaler qu’à l’issue de son réquisitoire, le procureur a requis 20 ans de prison contre le principal accusé et 10 ans contre le second. Néanmoins, le tribunal finira par condamner S. Saïd à 10 ans de prison ferme et acquitter T. Ali.
Djaffar Tamani www.elwatan.com
C’est une affaire d’espionnage qui a été ouverte hier au tribunal criminel de Tizi Ouzou, impliquant deux accusés sous les chefs d’inculpation de « récolte d’informations et de documents destinés à une puissance étrangère, portant atteinte à la défense et à l’économie nationales ».
Quelques indications ont filtré de ce procès qui se tient à huis clos, et sur lequel plane l’ombre des redoutables services secrets israéliens. Au box des accusés, S. Saïd, 44 ans, qui a exercé en tant que journaliste dans plusieurs pays africains, et T. Ali, 31 ans, policier à Tizi Ouzou puis à Alger, présenté dans le dossier comme l’un des informateurs du premier accusé. L’affaire a commencé en 1992 lorsque S. Saïd, exerçant alors dans un journal en Côte d’Ivoire, publie un portrait élogieux de Shimon Peres. L’article a attiré l’attention de l’ambassade d’Israël à Abidjan, et l’auteur sera invité à la même période à un stage de formation en Israël en compagnie d’autres journalistes de pays africains et arabes. Les détails de « l’enrôlement » présumé des hôtes d’Israël restent sombres. Les avocats ont été instruits de ne pas divulguer le contenu de l’arrêt de renvoi, mais des indiscrétions font état de documents relatifs aux déplacements du principal accusé dans les pays du Maghreb et du Proche-Orient. Selon le document de la chambre d’accusation, s’appuyant sur des pièces saisies lors de l’enquête, la formation qui a été prodiguée par l’Etat hébreu était à la lisière du journalisme, embrassant les techniques de récolte d’informations sensibles, liées à la sécurité et à l’économie. Les avocats de la défense affirment que le dossier a été amplifié et que les documents en possession de la justice ne dépassent pas le cadre de l’activité journalistique de leur mandant. Ce dernier aurait accompli des « missions » dans de nombreux pays arabes et était rémunéré, selon les pièces de l’accusation, à hauteur de 1500 dollars. Son arrestation aurait eu lieu en 2005 au Maroc, par les services de sécurité de ce pays, avant d’être extradé vers l’ Algérie. L’affaire a d’abord été examinée par le tribunal militaire qui s’est déclaré incompétent, la renvoyant à la cour de Tizi Ouzou. Le deuxième accusé, T. Ali, était un élément de la BMPJ à Tizi Ouzou, et aurait donné des informations à son coaccusé sur la situation sécuritaire dans la région. Le procès se poursuivra aujourd’hui. A noter que des moyens audiovisuels ont été utilisés dans le hall du bâtiment judiciaire par des éléments de la « sécurité intérieure de la cour ». A signaler qu’à l’issue de son réquisitoire, le procureur a requis 20 ans de prison contre le principal accusé et 10 ans contre le second. Néanmoins, le tribunal finira par condamner S. Saïd à 10 ans de prison ferme et acquitter T. Ali.
Djaffar Tamani www.elwatan.com
Re: L'Actualite en Algerie
Un attentat-suicide fait huit morts à Lakhdaria
Source: NOUVELOBS.COM
Un attentat-suicide a fait au moins huit morts, mercredi 11 juillet au matin, devant une caserne de l'armée à Lakhdaria (anciennement Palestro), au sud-est d'Alger, apprend-on de sources sécuritaires sur place.
Selon des témoins, un kamikaze s'est fait exploser à bord d'un véhicule piégé lancé à toute vitesse en direction de l'entrée de la caserne. Parmi les morts figurent des militaires et des civils. Le nombre de blessés n'a pas été précisé. Plusieurs ambulances ont évacué rapidement les victimes vers les hôpitaux de la région.
Le bilan de l'attentat pourrait s'alourdir, selon les mêmes sources.
Cet attentat intervient après le discours du 5 juillet du président algérien Abdelaziz Bouteflika, appelant à lutter plus intensivement contre le terrorisme. "Nous devons poursuivre sans relâche la lutte contre les entreprises criminelles et terroristes de ceux qui, refusant l'appel magnanime de la nation (en faveur de la réconciliation nationale), se déclarent résolument ennemis du peuple et voudraient perturber le mouvement de refondation et de cohésion nationale", déclarait-il.
Source: NOUVELOBS.COM
sabrinel- Régulier(e)
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