Victime

En philosophie la definition de la victime est la suivante :
La victime (...) se présuppose elle-même ou se performe comme victime dans et par son silence radical ou son impossibilité positive de parler. Elle peut de cette manière faire valoir une justice qui prend les voies de l'immanence. - Se présupposer soi-même comme victime, ce n'est pas passivité par impuissance, faiblesse par mauvaise conscience, vengeance par ressentiment. - C'est être-donné ou être-performé telle une victime, c'est faire hypothèse ou présupposition radicale, sans relève possible, de son être (de) victime. - Seule la victime (...) peut déterminer elle-même sa défense, cette fois a priori, en s'aidant seulement des forts et des puissants mais sans leur laisser ce soin ou ce souci.
quelle sont les diferents type de victime et quel est la solution pour ne pas se considéré comme victime?

On peut être victime de la criminalité, de harcèlement, de violence organisée, de difficultés de la vie, d’injustice sociale, de catastrophe naturelle, d’accident, d’erreur médicale, de terrorisme, de torture et de mauvais traitements, etc. La liste des victimisations semble infinie.

Le sujet victimisé domine, peu importe l’origine de sa victimisation. Cet état provoque une confusion entre victimisation réelle et sentiment d’insécurité, difficulté psychologique personnelle, etc., certaines personnes confondent frustration , colère, chagrin, peur, etc. avec l’atteinte physique, morale ou psychologique de la victimisation. Par exemple, elles s’estiment victime d’un divorce, d’un décès, d’un licenciement, de l’irrespect de voisins, etc. Elles projettent la cause de leur mal-être sur autrui et s’épanchent alors en revendications victimaires.
Etre victime n’est plus un état mais devient un statut,
la victime existant socialement au travers de sa victimisation.

Il faut effectruer une psychanalyse, celle-ci leur permettent de comprendre et de mettre en relation les évènements passés avec leur fonctionnement psychique présent, pour venir à bout de troubles persistants comme le manque de confiance en moi.

C'est pas facile de tanté sur la victimisation s'il n'y avais en premier lieu de torture ou un évènement qui as bouleverssé la victime au point qu'elles s'enveloppent sur ça coquille .

Je n’ai jamais été confrontée à ce genre d’événement, mais il me semble que pour essayer de survivre à un événement envahissant psychologiquement et potentiellement destructeur que la torture, le traumatisé recourt à ce type d’isolation protecteur, et développe un stress aigu, je ne vois pas autre chose qu’une thérapie pour lui venir en aide.

je te signale la torture que je viens de parler est due par un abuse donc il faut une thérapie d'une long durée car généralement les adultes il sont loin de dire toute la vérité a leurs psy .
Ce qui concerne le stress je pense si la victime a lieu d'une thérapie suivant le choc alors elle ne tante pas a s'enfermé au contraire et si ça reste une grande période ça risque de s'aggrave par autre évènement qui suit ce choque.

Bien ! tu veux parler d'abus sexuel ? alors là les victimes ne se remettent jamais, elles ont un semblant d'oubli.
Le temps ne compte pas pour l'inconscient, il s'est comme arrêté pour la victime, et c'est l'apparition de la dépression ou des troubles qui l'incitera à laisser enfin sa souffrance refaire surface et à accepter d'en parler.
Mais parler de ce traumatisme, prendre conscience de cette vérité : "J'ai été abusée"peut être un choc terrible. Le psy aura besoin de tact et d'une grande compassion pour laisser la personne découvrir elle-même et à son rythme, l'ampleur du drame qu'elle a vécu.

Une théorie psychologique est différentes d'une théorie sociologique et une interprétation religionlogique et chaqu'une d'elle représente une explication d'une partie du problème .
Nous ne disons de quelqu'un se comporte comme victime mais qu'il est une victime il faut juste que nous expliquons le comportement .
Alors il faut posé la question a quoi consiste les traits d'une personnalité?

La limite entre une personnalité normale et une personnalité pathologique est difficile à cerner. La normalité n’a pas une définition univoque et peut avoir des références différentes suivant si on se place du point de vue de la personne ou de la société.

Elle devient pathologique quand une personnalité est statistiquement rare et que les attitudes et le comportement sont une cause de souffrance pour elle-même et pour son entourage

Oh ! là ca me dépasse, je ne saurai y répondre, ça empiète dans le domaine psy qui n'est pas de mon ressort.

Nous sommes tous des victimes de quelques chose, de quelqu'un, et tant que cela n'atteint pas un degrés patholgique, nous n'avons pas à s'en inquièter.

Et ceux qui ne sont victimes de rien diront "je suis la victime du destin"